[SECOND EMPIRE / EUGENIE / BACCIOCHI] Marchal de Calvi (1815-1873)

Ensemble de trois documents relatifs aux derniers jours du comte Félix Bacciochi
1867, palais des Tuileries et Biarritz, deux LAS du Marcal de Calvi et une dépêche télégraphique de l’impératrice Eugénie, 1 p. in-4

« Quiconque ne voit le comte que pendant dix minutes ne peut avoir l’idée de ses souffrances »

VENDU
Ajouter à la sélection
Fiche descriptive

[SECOND EMPIRE / EUGENIE / BACCIOCHI] Marchal de Calvi (1815-1873)

Deux lettres autographes signées du Marcal de Calvi et une dépêche télégraphique de l’impératrice Eugénie
1867, palais des Tuileries et Biarritz, 4 p. in-4
Petite déchirure en marge supérieure de la dépêche télégraphique, sans atteinte au texte

Trois documents relatifs aux derniers jours du comte Félix Bacciochi, décédé à Paris le 23 septembre 1866


MARCHAL DE CALVI, Charles-Jacob (1815-1873), médecin du comte Bacciochi.

Lettre autographe signée « Marchal de Calvi » à un « cher ami », palais des Tuileries, 6 septembre 1866, sur papier en-tête de la maison de l’Empereur, service du Premier chambellan

Le docteur Marchal de Calvi, médecin au chevet du comte Bacciochi, donne de tristes nouvelles quant à l’état de santé de son patient : « Quiconque ne voit le comte que pendant dix minutes ne peut avoir l’idée de ses souffrances. »

MARCHAL DE CALVI, Charles-Jacob (1815-1873), médecin du comte Bacciochi.

Lettre autographe signée « Marchal de Calvi » à un « cher ami »,
palais des Tuileries, 7 septembre 1866, sur papier en-tête du ministère de la maison de l’Empereur et des Beaux-arts, surintendance générale des Théâtres

Le docteur Marchal de Calvi poursuit sa correspondance de la veille et relève un mieux relatif dans les souffrances endurées par « notre cher malade », probablement dans le but de rassurer son destinataire.

MONTIJO, Eugénie de (1826-1920), épouse de Napoléon III, impératrice des Français.

Dépêche télégraphique de l’impératrice Eugénie à Antoine Bertora (1831-1906), secrétaire du service des chambellans de l’empereur Napoléon III, Biarritz, 20 septembre 1866 [et non 1867 comme indiqué sur le document], en-tête du « Ministère de l’Intérieur, Direction générale des lignes télégraphiques, Cabinet des dépêches »

Affectueux message de l’impératrice Eugénie quelques jours avant le décès du comte Félix Bacciochi, premier chambellan de l’empereur Napoléon III.

« Si le comte Bacciochi a encore sa tête, dites-lui que je pense bien à lui en ce moment et que je lui serre la main. »


Le Comte Félix BACCIOCHI (1803-1866), est le neveu du prince Félix Bacciochi (époux d’Élisa Bonaparte, sœur de Napoléon Ier), premier chambellan de l’empereur Napoléon III.