HUGO, Victor (1802-1885)

Manuscrit autographe
S.l.n.d [1841], 1 p. oblongue in-8°

« L’amour a coutume de ne pas loger dans la main de l’avarice »

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Fiche descriptive

HUGO, Victor (1802-1885)

Manuscrit autographe
S.l.n.d [1841], 1 p. oblongue in-8°
Au verso d’une lettre de l’imprimeur de Béthune et Plon, se plaignant d’un incident à propos d’une loge qui lui était réservée au Théâtre de la Porte Saint-Martin.

Notes autographes sur la Rome antique et aphorismes sur l’amour


« à Rome on parle d’abord le vieux salien, puis le latin des douze-tables, ensuite celui de Caton-le-Censeur [Caton l’Ancien], enfin la langue de Cicéron, de Salluste et de César – »

« l’amour doit toujours augmenter ou diminuer
(code des cours d’amour)
l’amour a coutume de ne pas se loger dans la main de l’avarice (id.) »


On sait la production poétique de Victor Hugo parsemée d’inspirations de l’antiquité, et plus particulièrement l’Empire romain. On retrouve de nombreuses occurrences à cette époque, à commencer par son premier recueil de poésie : Les Feuilles d’automne (1831).

Quant à « l’amour », est-il besoin de rappeler l’omniprésence de la thématique qui fut, à n’en pas douter, la plus chère au poète toute sa vie durant ?

Ces pensées du grand homme semblent inédites