Poème épistolaire autographe signé « Guillaume Apollinaire », à André Billy
Nîmes, le 22 mars 1915, 1 p. in-8° à en-tête du Café Tortoni
« Sur son beau front brille une flamme / Dans sa main fleurit un rameau »
Deux lettres autographes signées « Jean Cocteau » à Henri Duvernois
S.l.n.d, c. 1912, 2 p. in-4°
« Pas un article sur la “Danse”. C’est tout de même drôle ! »
Lettre autographe signée « Jean Cocteau » à André Figueras
S.l, 29 juin 1952, 1 page in-4
« Mon voyage en Allemagne me rend gâteux »
Lettre autographe signée « Jean Cocteau » avec quatrain poétique, adressée à un critique
Maisons-Laffitte, [1910], 4 pp. in-12 carré
« On m’avait reproché jadis d’être trop triste, et d’être un vieux de 19 ans »
Lettre autographe signée de son étoile à Jean Marais
S.l.n.d [1940], 1 p. grand in-4°
« J’ai décidé de tenir le coup et je le tiendrai même si c’est dur »
Lettre autographe signée « Ton Jean » à Marianne
Milly, Lundi 20 mai [1958], 1 page in-4 ornée d’un dessin en couleur
« Je dois faire un travail avec Karajan à l’Opéra »
Lettre autographe signée « Jean C » à Henri Duvernois
[Ville de Monts] Indre-et-Loire, 26 septembre 1913, 1 p. in-8
« J’ai cent yeux pour lire Nounette »
Lettre autographe signée « Jean Cocteau » à Henry de Montherlant
Milly[-la-Forêt], 1er novembre 1962, 1 p. in-4°
« La seule chose étrange c’est qu’on soit sous cette coupole qui refusait Chateaubriand Hugo Vigny Balzac… »
Lettre autographe signée deux fois à Michaël Smithies
Saint-Jean-Cap-Ferrat, 3 juin 1956, 6 p. in-8°, avec enveloppe
« L’art échappe au progrès »
Lettre autographe signée « Jean Cocteau » à René Laporte
Paris, 22 juin 1925.
« C’est Proust et la bande de Balbec »
Lettre autographe signée « Jean Cocteau » à Louis Bonalumi
St Jean Cap-Ferrat, le 29 mai 1954, 1 p. in-4, enveloppe autographe jointe
« Un de mes très beaux livres illustrés qu’on oublie toujours dans la bibliographie »
Lettre autographe signée « Marcel Proust » à Marie Scheikévitch
Cabourg, [5 septembre 1912], 3 p. 1/2 grand in-8°
« Heureusement que je n’ai pas de mémoire et que j’oublie extrêmement vite les êtres qui m’ont plu »