Lettre autographe signée « Toussaint » à Gabriel Soulages
Paris, le 23 mai 1914, 3 pp in-4
« J’ai vu Apollinaire. Il fumait sa pipe au milieu de ses fétiches papous, de ses statuettes égyptiennes et grecques. Aux murs, des Picasso, des Marie Laurencin et des compositions cubiques affolantes »
Poème épistolaire signé « Guillaume Apollinaire », à André Billy
Nîmes, le 9 mars 1915, 1 p. in-8 à en-tête du Café Tortoni
« Ami, les jours aux jours s’enchaînent / Combien, combien de jours encor / Combien de douleurs les emmènent »
Quatrain autographe signé « G.A. » à Paul Lombard
[Nîmes], 15 mars 1915, 1/4 p. in-4to
« Tu regardes debout sur la tour cette guerre »
Poème épistolaire autographe signé « Guillaume Apollinaire », à André Billy
Nîmes, le 22 mars 1915, 1 p. in-8° à en-tête du Café Tortoni
« Sur son beau front brille une flamme / Dans sa main fleurit un rameau »
Manuscrit autographe de premier jet pour le poème « Le Voyageur »
S.l.n.d [c. 1909-1910], 1 p. 1/4 in-4°
« Deux matelots qui ne s’étaient jamais quittés »
Deux lettres autographes signées « Jacqueline » à Angelika de Kostrowitsky
[Paris, 4 et 6 janvier 1918], 2 p. in-8°
« Le major de la place la envoyé à l’hopital où il a été trépané »
Lettre autographe signée « Marie Laurencin » à Roger Nimier
[Paris, 20 mars 1952], 4 p. in-12°
« Les juges me font peur depuis l’histoire de Guillaume Apollinaire »